CHU SAINT-PIERRE
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Réseau Hépatite C – Bruxelles © 2019
Nouveau !
Téléchargez l’agenda de nos permanences
Notre programme des permanences de la rentrée 2024 est disponible !
Téléchargez la version imprimable pour l’afficher dans votre institution en cliquant ici.
Nos lieux de permanences
Polyclinique du CHU Saint-Pierre
Contact : +32 (0)2 506 70 92
Rendez-vous au 7e étage et demander le SAMPAS à l’accueil.
GATE (SCMR)
Contact : +32 (0)2 253 59 99
Projet Lama 1050 – Ixelles
Contact : +32 (0)2 640 50 20
Projet Lama 1070 – Anderlecht
Contact : +32 (0)2 524 33 52
Projet Lama 1080 – Molenbeek
Contact : +32 (0)2 411 51 61
La Mass
Contact : +32 (0)2 505 32 90
Transit
Contact : +32 (0)2 215 89 90
L’agenda de nos permanences
Q & A
Quels patients adresser à une permanence ?
– les patients à risque d’avoir été en contact avec l’hépatite C (surtout les injecteurs et particulièrement ceux qui ont eu leur première consommation en injection il y a longtemps et jamais dépistés)
NB : les centres médicalisés font également du dépistage hors de notre présence
– ceux qui ont déjà eu un dépistage positif aux anticorps mais qui n’ont jamais eu de confirmation par PCR,
– ceux qui ont une hépatite C avérée et qui n’ont jamais eu de traitement
– ceux qui ont guéri mais qui ont repris des risques afin de vérifier s’il y a eu une re-contamination
En pratique : comment adresser les patients ?
Orienter l’usager concerné vers notre permanence la plus proche et/ou celle qui lui convient le mieux.
Vérifier qu’il connaît l’adresse et l’itinéraire.
Appeler l’institution vers laquelle vous l’orientez pour notre permanence.
Idéalement en leur mentionnant la raison de l’envoi. Ceci afin de pouvoir gérer le flux au mieux.
Le patient doit-il fréquenter l’institution partenaire ?
Non, les permanences sont ouvertes à tous les usagers fréquentant les institutions membres de la CBS à Bruxelles (Transit, Dune, MASS, Lama).
Toutefois, si le patient est exclu d’une institution, l’exclusion reste valable malgré l’ouverture de nos permanences. Donc, il n’aura pas le droit de venir nous rencontrer dans une institution dont il a été exclu.
Que fait le SAMPAS lors de ses permanences en outreach ?
Nous allons à la rencontre des usagers des services afin de créer un lien thérapeutique et de faire le bilan quasi complet du VHC et du foie qui est nécessaire avant la mise sous traitement en milieu hospitalier.
Lors de ces rencontres, nous sommes également dans une logique d’information et de Réduction des Risques visant à l’empowerment des usagers.
Lors de ces rencontres, nous sommes également dans une logique d’information et de Réduction des Risques visant à l’empowerment des usagers.
En pratique, nous faisons :
– du dépistage de l’hépatite C par TROD (et du VIH si nécessaire),
– Une confirmation du diagnostic d’hépatite C chronique avec notre Cepheid® mobile (Résultat de la PCR en 1 heure)
– Evaluation de la fibrose du foie avec le Fibroscan® mobile
– Création du lien et amorce d’une prise en charge par notre équipe si un suivi médical et/ou un traitement de l’hépatite C sont indiqués.
Pourquoi des permanences chez nos partenaires bruxellois ?
Nos activités et interventions cliniques auprès des usagers s’organisent dans un double mouvement afin de remplir au mieux nos missions. En savoir plus sur notre service en cliquant ici.
Le premier mouvement se fait dans une démarche «d’outreaching», nous sortons de l’hôpital en vélo électrique avec notre matériel médical mobile (TRODs, Fibroscan® mobile, ordinateurs, Cepheid®) pour nous rendre sur les sites de première ligne impliquées dans le suivi des (ex-)usagers de drogues, ce qui nous permet d’aller à leur rencontre dans leurs lieux de soins habituels.
Il s’agit de sortir les soins spécialisés de l’hôpital en proposant un véritable « point of care » mobile et en assurant une consultation avec un hépatologue, ce qui permet de construire un trajet de soins adapté et d’assurer la continuité de ceux-ci.
L’autre se fait dans une démarche «d’inreaching». D’abord grâce au service d’accompagnement du SAMPAS qui aide les usagers à franchir le seuil de l’hôpital pour d’accéder aux soins et pour peu à peu retisser un sentiment de confiance envers le système de soins spécialisé.
Mais aussi en offrant des consultations d’hépatologie dédiées aux (ex-)usagers de drogues et autres publics fragilisés, afin d’améliorer l’accès aux soins en milieu hospitalier et garantir l’accès aux traitements antiviraux.